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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 08:58

En 2012, Marine Le Pen s'est vue privée de son permis de conduire, selon Le Canard enchaîné de ce mercredi. Selon l'hebdomadaire satirique, celle qui milite pour la suppression des radars routiers a perdu tous ses points après diverses infractions, notamment des excès de vitesse.

Si la présidente du Front national ne conteste pas le fait de ne plus avoir de permis de conduire, elle en explique les raisons: «En réalité, ces infractions n'ont pas été commises par moi. Profitant des services d'un CHAUFFEUR tout en utilisant ma voiture personnelle, j'ai subi la perte de ces points parce que je n'avais pas souhaité dénoncer l'auteur des infractions», explique-t-elle au Figaro.

Pourquoi n'avait-elle pas enregistré le véhicule au nom du Front national? «En effet, je n'ai pas eu ce réflexe-là qui, semble-t-il, est assez répandu aujourd'hui. Je dois être une des seules politiques roulant dans ma voiture personnelle avec mon chauffeur!» Elle promet, enfin, que ceux qui souhaiteraient fouiller dans les fichiers des infractions concernées, n'y «trouveront jamais sa tête».

Imbroglio autour du règlement des frais d'avocats

En janvier 2013, Marine Le Pen a engagé une procédure judiciaire, toujours en cours aujourd'hui, pour contester l'annulation de son permis. La patronne du parti frontiste a alors eu recours au cabinet parisien Dufour et Associés. Lequel, selon Le Canard, n'a jamais été payé pour le travail accompli. Et aurait en conséquence saisi le bâtonnier du barreau de Paris, Pierre-Olivier Sur, pour réclamer 3.000 euros d'honoraires.

Marine Le Pen assure quant à elle avoir elle-même saisi le bâtonnier, soulignant que la société d'avocats aurait connu des problèmes internes. «Ils se sont séparés dans des conditions vives et comme je ne savais plus à qui je devais adresser mon règlement de 3.000 euros, je me suis tournée vers le bâtonnier, sans contester cette somme, mais en lui demandant simplement à qui je devais adresser mon règlement» assure-t-elle.

Selon l'élue, le bâtonnier Pierre-Olivier Sur a formulé une «décision de taxation d'honoraires» lui précisant qu'elle devait adresser le paiement dû à la société d'avocats qui existait au moment de l'ouverture du dossier. «Je vais donc pouvoir adresser à qui de droit le règlement en question», conclut la présidente du FN dans un communiqué diffusé dans la matinée.

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