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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 09:41

Ca avait commençé par un incendie... Le 16 mars au soir à cause d'une chaussette pleine de bulletins trouvé sur le président du bureau N° 4, George Garcia, le frère de Mani Garcia colistier du Maire sortant Jean-Paul Alduy. La rumeur s'est alors propagée dans toute la ville : "y aurait-il un système de fraude généralisé dont bénéficierait le maire actuel de Perpignan ?" Des citoyens de l'ordre de 500 font le tour de la villez, s'arrêtant devant la préfecture, puis devant la mairie, en demandant justice et l'annulation de l'élection. Cacophonie des voix officielles, au moment où le préfet dit que l'élection sera annulée, le procureur dit le contraire... Le préfet finira par rejoindre l'avis du procureur des journalistes de toute la France commence à débarquer, alors que tous les soirs on manifeste avec des chaussettes devant la mairie. On croise même on croise même Florence Aubenas l'ex-otage iraquienne et toujours de gauche ... heu .... journaliste. Recours devant l'e tribunal administratif est déposé par l'opposition. Le temps passe avec des conseils municipaux qui ressemblent "à la drôle de guerre" chaque camp affirmant qu'il "pendra son linge sur la ligne Siegfried !". Vient le 23 septembre, où le commissaire du gouvernement rend un avis qui ouvre la porte à bien des interprétations. Il n'invalide pas faute de preuves et d'écart suffisant sur le nombre de votes, mais constate une "fraude manifeste" écarté  400 et quelques voix en défaveur du maire sortant, sur le bureau 4. Il ne reste désormais au maire sortant plus que 150 voix d'avances. Le 7 octobre commence aussi par un incendie. Le bâtiment sur l'un des balcons duquel, lorsqu'il avait été élu pour la première fois Maire, face au RPR Claude Baratte dépité, il avait soufflé trois mots : "La tramontane a soufflé !". Interrogé sur France-Inter à 7 heures du matin, il disait : "quand on est élu on est élu. " Que pense-t-on en se rasant, à 9 h 30 du matin, lorsque le tribunal administratif de Montpellier invalide votre élection et celle de tous vos adjoints : "on est un homme blessé !"  La tête de liste socialiste de l'opposition Jacvqueline Amiel-Donat, pleure, parce qu'elle pense qu'elle a eu raison de croire "au droit et à la justice". Mais si on revote, l'u,ion sera-t-elle sans faille facxe à un Jean-Paul Alduy qui a déjà annoncé qu'il fallait faire appel au conseil d'état. L'opposition reste unie, même s'ils le font séparément, sous la forme de deux conférences de presse au Café de la Poste à une demi-heure de distance de Jean Codognès et Clotilde Ripoull, Katia Mingo, Jordi Vera et Jacvqulinbe Amiel-Donay et le communiste de l'autre. Lorsque la presse interroge sur le sujet, la réponse est , pour les uns "adressez vous aux autres". Quand aux autres, ils répondent que "Bien sûrs, ils étaient invité et on ne comprend pas pourquoi, ils ne sont pas assis avec nous !" Le fait est que Clotilde Ripoull, crosiant à 13 heures un journaliste qui lui apprend que JAD fait une conférence de presse à 15 heurs... l'interrogation qu'elle a avec Jean Codognès, "Faut-il s'inviter ou en faire une autre ?". Ils optent pour prendre de vitesse Jacqueline, tout en l'invitant à les rejoindre. Mise devant le fait accompli, elle ne peut que les inviter à son tour pour ne pas perdre la face. A 17 heures, c'est la conférence de Jean-Paul Alduy à la Mairie. Ca sent encore la fumée, on entre par derrière. Tous les adjoints sont là, "avec des airs d'avoir enterré leur mère". Le maire se défend, "son honneur est  jeu (...) et la morale lui commande d'aller jusqu'au bout, c'est-à-dire de faire appel devant le conseil d'état !" "Et pour la nommination du président du bureau incriminé, elle est devous ?" Demande un journaliste. Il répond "c'est une erreur de casting". 18 heures conférence de presse du président du conseil général de Chrisitan Bourquin qui appel "les perpignanais à se libérer !" Lui aussi croit à l'union. 19h c'est l'heure de l'apéro, on médite sur les 6 mois que donneront la réponse du conseil d'état.

 

Source : Le Petit Journal.

Cordialement le Blad. 

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